Le fruit définitif de la pensée de M. Gremetz n'est pas parvenu jusqu'à moi, mais j'ai cru comprendre l'esprit de son intervention. Il s'appuie sur les difficultés des autres. Comme le Premier ministre et la ministre de l'économie l'ont rappelé avec force, vendredi, sous l'impulsion des chefs d'État, nous avons décidé de sauver l'euro. Vous vous appuyez là-dessus, monsieur Gremetz, pour demander, une fois encore, la levée du bouclier fiscal.
Je pourrais vous répéter les chiffres de 2008. Un peu plus de 16 000 personnes sont concernées. Nous aurons bientôt les chiffres définitifs pour 2009 ; les montants en cause sont de l'ordre de 600 millions d'euros.