Monsieur le président Copé, nous avons vécu une crise extrêmement sérieuse puisqu'au fond, ce qui était en cause à la fin de la semaine dernière, c'était l'existence même de l'euro. Je pense que la gravité de cette crise est due pour une part aux atermoiements qui ont présidé à la mise en oeuvre d'une solution aux problèmes de la Grèce.