Monsieur le ministre, les problèmes que j'ai évoqués se posent aussi dans le second degré, où les remplacements d'enseignants sont de moins en moins assurés, et il n'est pas rare que l'on fasse appel à des contractuels ou à des enseignants retraités. Dans le collège Georges-Rouquier, à Rignac, le remplacement du professeur d'anglais est assuré par une personne qui ne parle pas le français et n'a pas de formation enseignante.