Je vous remercie de votre réponse, madame la secrétaire d'État, mais elle ne me satisfait pas.
Je comprends les arguments que vous développez et je soutiens entièrement la politique de notre gouvernement en la matière. Mais je crains que la différence entre les solutions proposées aux populations urbaines et rurales ne témoigne de l'existence d'une France à deux vitesses, si je puis m'exprimer ainsi.
Malheureusement, les collectivités vont sans doute traîner les pieds avant de s'équiper, en raison du coût que cela représente et que vous avez fort justement souligné. Vous évoquez la mutualisation des moyens, mais chaque collectivité souhaite obtenir son propre défibrillateur.
J'espère que les élus prendront leurs responsabilités et que nous pourrons équiper nos campagnes dans de bonnes conditions.