Madame la présidente, monsieur le ministre d'État, madame la secrétaire d'État, messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, je m'efforcerai, comme tous ceux qui me succèderont à la tribune, d'être bref, beaucoup ayant déjà été dit. Je tiens cependant à dire quatre choses.
Premier point, je le dis avec force et tranquillité : le diktat de la gauche à notre égard, cela suffit !