Je ne le regrette absolument pas. J'ai donné sa chance à ce processus ; j'y ai participé modestement dans un groupe de travail, mais je vous appelle solennellement à vous ressaisir, monsieur le ministre d'État, pour revenir au compromis initial. Je le rappelle : il s'agit seulement d'un compromis, qui ne reprend pas nos positions – nous, nous serions allés beaucoup plus loin –, mais nous le défendons. Je vous appelle à ne pas trahir le Grenelle, ni dans son esprit ni dans ses conclusions.