Nous sommes tous des élus du suffrage universel et nous savons que reporter cette mesure après les élections législatives de 2012 n'est pas anodin.
Nul ne peut prétendre que le sujet n'a pas été discuté. Nous pourrions compter les heures que nous avons passées à en débattre ; je sais, monsieur Jacob, que vous aimez bien le faire.