Je réfute l'idée selon laquelle un paysage est une donnée naturelle à laquelle on ne doit pas toucher. Cette idée, je la qualifie même de faute philosophique. J'en veux pour preuve la pensée du philosophe agenais Michel Serres, qui estime au contraire que le paysage est une construction de l'homme qui se renouvelle intrinsèquement et qu'il n'y a pas de paysage sans paysans.