…pour parvenir à faire avancer certaines mesures dignes d'intérêt, mais la religion du marché s'impose partout lorsque l'on touche aux problématiques fondamentales du devenir de la planète. Le marché, tout le marché, rien que le marché ! Vous vous en tenez à votre dogme. Il a pourtant bien vécu, et montré toutes ses limites avec la crise financière et l'impuissance de Copenhague.
Pour évoquer le cheminement du Grenelle de l'environnement, je reprendrai la formule employée par Pablo Neruda dans l'un des poèmes de son Chant général. Je dirai que « les blancs asticots du fromage capitaliste » (Rires sur les bancs du groupe UMP.) rongent peu à peu toutes les bonnes intentions initiales.
Neruda ajoutait : « dans le gros fromage violâtre [...] apparaît un autre ver : le favori ».