Parce que les entreprises qui font faillite, qui disparaissent risquent de laisser les collectivités territoriales sans moyens à cet effet.
Ce sont, monsieur le ministre d'État, les seuls amendements que nous avons déposés. Et c'est uniquement cela qui fait souffler un vent de colère sur cet hémicycle, de la part de l'opposition, qui retrouve subitement une certaine vertu pour s'opposer au Grenelle de l'environnement. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Tout cela est dérisoire, chers collègues !
Les Français soutiennent les propositions que nous faisons. Le seul lobby que je reconnaisse, c'est le lobby du bon sens, et je défends dans cette affaire les positions de bon sens qui sont celles de la majorité ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC. – Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
L'écologie n'appartient à aucun parti politique. Nos collègues ont pris des chemins de traverse pour faire de l'écologie le pilier de leur parti, en cultivant l'esprit partisan. C'est leur affaire. Moi, je ne suis pas pour l'écologie dogmatique (Exclamations et rires sur les bancs du groupe GDR), mais pour l'écologie positive. Je ne suis pas pour l'écologie punitive, mais pour l'écologie de conviction. Et je fais la démonstration, avec la mission d'information et la commission des affaires économiques, que nous sommes pour l'écologie : une écologie positive et de conviction.
Monsieur le ministre d'État, nous soutenons votre texte. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)