La rigueur des contrôles que j'ai évoqués est une garantie suffisante, puisque chaque décaissement dépendra de leurs résultats. Quant à nos relations commerciales, il ne faut pas espérer des miracles dans les mois qui viennent : la récession, en Grèce, devrait être de 4 % au cours du prochain exercice, de 2,5 % au cours du suivant, le retour de la croissance n'étant attendu que pour le second semestre de 2011. Nous continuerons à travailler ensemble mais il faut voir que nos échanges avec la Grèce sont de l'ordre de 3 milliards d'euros seulement.