Faites-moi la grâce d'entendre que, si j'en suis à mon quatrième ou cinquième tour du monde en quelques mois, c'est que j'ai la volonté d'aller vers tous nos compatriotes ultramarins. Je veux être auprès d'eux, dans leur détresse, leurs épreuves, leurs difficultés. Je veux les écouter pour mieux les comprendre, avant de proposer des dispositions au Parlement ou de prendre des décisions qui pourraient aller à l'encontre de leurs espérances. Alors, oui, j'y retournerai avant Noël.