Ma question concerne le comportement de l'administration française et des autres pays européens quant à l'usage des liquidités.
En France, la ménagère pourra payer un kilo de pommes de terre avec sa carte bancaire. En Allemagne, au contraire, l'acheteur d'une Mercedes paiera en liquidités : s'il signe un chèque, le soupçon sera immédiat, avec, à la clef, une enquête auprès de sa banque.
Que penser, de plus, des voitures de luxe possédées par les gens du voyage et payées en liquide, alors même que les fonds proviennent le plus souvent de biens français recyclés dans un pays étranger ? Avez-vous des moyens d'action à l'encontre de ces « entités peu coopératives » ?