Il faut revenir au texte de 2004 au niveau de la santé publique pour ce qui est des trois niveaux de recherche et à la loi de 2002 pour les consentements.
Enfin, je regrette qu'on ait voulu supprimer les recherches de stade I, portant sur les doses maximales qu'on peut donner à des patients, parfois en fin de vie et qui ne risquent plus grand-chose. Un membre de ma famille a bénéficié de cette dose maximale, il a fait partie de ces 5 % d'heureux qui ont été sauvés par cette dose maximale. On ne doit pas interdire cette possibilité, qui doit s'accompagner, bien sûr, d'une information forte et précise des personnes.