Monsieur Dosière, je voudrais, moi aussi, faire référence à ce que vous avez pu dire par le passé.
En 2004, défendant plusieurs motions de procédure, vous dénonciez un « bricolage juridico-administratif » et « une dérive présidentialiste ». Vous aviez même parlé de « risque monarchique », et vous aviez vu en cela, comme Jean-Christophe Lagarde, un risque de dérive vers l'indépendance.