Je veux d'abord vous remercier, mesdames et messieurs les députés, de l'accueil que vous m'avez réservé : il m'est allé droit au coeur ! Je veux aussi remercier les sénateurs qui me donnent l'occasion d'être devant vous, et en particulier Mme Bricq. Mme Morano est actuellement au Sénat en train de « plancher » sur une proposition de loi qui concerne la parité hommes femmes dans les conseils d'administration. C'est la seule raison pour laquelle elle n'est pas devant vous aujourd'hui, manifestement à votre grand regret… Je vous prie de l'en excuser. Pour ma part, je suis très heureux d'être ici.