Comme toujours, il n'y a pas de réponse simple ; aussi formulerai-je une nouvelle fois l'espoir que la commission remodelée par ce texte embrasse les différentes questions qui se posent avec courage et responsabilité.
Le principe d'inaliénabilité – mot que j'ai soigneusement évité d'utiliser jusqu'ici parce qu'il est difficile à prononcer – ne doit pas faire obstacle aux procédures de déclassement qui ne manqueront pas d'être engagées.
Je termine en regrettant l'absence bien compréhensible du ministre de la culture, mais je me réjouis qu'il ait répondu positivement à mon souhait de remettre officiellement à la Nouvelle-Zélande la tête maorie de Rouen en sa présence. Nous en délibérerons d'ailleurs au conseil municipal du 21 mai prochain.
Madame la présidente, monsieur le ministre, les députés du groupe socialiste, radical et citoyen voteront ce texte avec conviction et seront attentifs à ses retombées. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)