Sans sombrer dans l'autosatisfaction, dans ma Franche-Comté, terre industrielle s'il en est, celle de l'automobile, de la sous-traitance et de la plasturgie, celle des mobilités et des microtechniques, grâce aux moyens mis en place et à la mobilisation de tous les acteurs, aucune entité de plus de cinquante emplois n'a disparu depuis la crise, en dépit de la velléité entretenue par certaines stratégies autoritaires et qui apparaissaient sans appel.
Mieux, pour la première fois depuis longtemps, on a enregistré en mars, dans l'aire urbaine Montbéliard-Belfort, une légère baisse du chômage, alors même que l'on peut lire, dans le quotidien régional aujourd'hui, que, sur le plan conjoncturel, l'activité reste soutenue pour l'automobile.