À vous entendre, monsieur Le Roux, nous n'aurions pas respecté l'avis de l'Assemblée de Polynésie. Je pense au contraire l'avoir respecté plus que d'autres. J'ai en effet été le premier membre d'un gouvernement, quel qu'il soit, à avoir accepté son invitation à venir débattre en son sein. J'ai discuté pendant plus de quatre heures avec les représentants du territoire. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)