Merci, monsieur le secrétaire d'État, pour cette réponse. Je sais bien que la préoccupation que j'exprime au nom de nombreux collègues est partagée par le Gouvernement. Compte tenu de cet événement tragique et des difficultés qu'il a entraînées en Haïti, je souhaite simplement que face à l'inquiétude des familles, une vraie priorité – si tant est qu'on puisse employer ce terme s'agissant d'adoption – soit donnée pour permettre aux enfants d'arriver le plus vite possible.