J'assume cette décision de report qui est de mon fait. Je l'ai prise pour que nous puissions achever notre examen du projet de loi Grenelle II dans des conditions satisfaisantes, car nous ne disposerons que d'une heure dans la journée de demain. Or notre calendrier est contraint par celui de la commission du développement durable, qui est saisie au fond. J'ai fait le choix de donner la priorité à l'examen de ce projet de loi par rapport à l'audition de M. Jean-Paul Bailly dans la mesure où cette audition ne devait pas être suivie d'un vote. Dans le cas contraire, ma position aurait été différente.