On a pu mesurer la qualité de l'air quand le tunnel du Mont-Blanc a été percé. Le trafic routier a augmenté et, au moment de la catastrophe, on a pu se rendre compte de la pollution qui en a résulté. La question qui se pose est celle de la position et de l'action de l'Europe sur les thèmes environnementaux. Il faut qu'il y ait une intervention volontaire des Etats, pour aller plus loin que le coup par coup. Il faut une politique volontariste pour étudier la faisabilité des solutions alternatives, libérer l'initiative pour imaginer des nouvelles solutions. Sans cela, les investisseurs sont paralysés et s'interdisent les innovations. Ce rapport montre que c'est indispensable.