Le monde est aussi fait de discussions. Entre le moment – déjà lointain – où nous avons examiné ce texte pour la première fois et aujourd'hui, nous avons évolué, comme c'est notre droit. Nous avons rencontré de petits propriétaires, qui gens qui vous expliquent qu'ils ont acheté pour leurs vieux jours un appartement dont ils tirent un revenu modeste, mais qui conditionne leur qualité de vie. Ne pouvez-vous pas admettre que je me sois livrée à cette réflexion ? Ce n'est pas un renoncement, mais une réelle évolution.
Par ailleurs, M. Brottes a raison de dire que la vraie question est celle de la bonne ou de la mauvaise foi. Or qui est le plus à même d'apprécier s'il s'agit de bonne ou de mauvaise foi, si ce n'est le juge ? Je ne retire pas cet amendement, car je ne souhaite pas revenir sur ce qu'a fait la commission des affaires sociales, mais je voulais vous faire part de mon évolution personnelle.