Votre question, madame la députée, est parfaitement justifiée ; mais le fonds ne garantissant le prêt qu'à hauteur de 55 %, il est légitime que le prêteur souhaite une garantie pour les 45 % qui restent. Ce raisonnement, bien sûr, vaut pour l'école de micro-crédit selon laquelle cette activité obéit aux mêmes règles que les autres activités financières.