Laissons les opérateurs développer leur pratique selon les différentes écoles : certains demanderont des cautionnements et des assurances ; d'autres non. Bref, laissons un peu de liberté de manoeuvre : les opérateurs les plus attractifs et les plus efficaces seront sans doute ceux qui survivront à la floraison actuelle.
Compte tenu de l'existence de différentes écoles en matière de micro-crédit, le Gouvernement est défavorable à l'amendement, par lequel les deux tiers de cette activité disparaîtraient dans notre pays.