Je ne suis pas du tout d'accord avec Jean Dionis du Séjour. Nombre de bénévoles s'investissent dans l'accompagnement, notamment des retraités riches d'une expérience professionnelle. Pour le coup, vous risquez de les écarter, alors que notre société ne souffre pas d'un excès de solidarité, bien au contraire, compte tenu des effets destructeurs de la politique gouvernementale.
Ne limitons pas l'engagement des bonnes volontés et n'encadrons pas cela d'une façon trop sévère en exigeant des compétences professionnelles ! L'expérience montre qu'il y a dans les initiatives particulières – associatives et solidaires – des gens qui certes n'ont pas les qualifications professionnelles, mais qui ont une expérience du terrain irremplaçable qui les aide à trouver les cheminements conduisant aux solutions.