Beaucoup de choses ont été dites. On m'a reproché hier d'être quelque peu excessif dans mes propos. Je ferai donc preuve aujourd'hui de modestie et presque de résignation mais, si je suis résigné, c'est que je suis triste et, si je suis triste, c'est que les problèmes auxquels je suis confronté me paraissent énormes : je souhaiterais que votre gouvernement, madame la ministre, puisse appréhender l'énormité des problèmes qui sont les nôtres.
Par curiosité ou, plus simplement, par souci d'information, j'ai consulté la presse ce matin. Que peut-on y lire ? « Première salve contre les retraites, coup de colère, coup de force du Gouvernement, chantage aux infirmières, marché de dupes »…