J'entends bien les arguments du rapporteur et du secrétaire d'État, et, pour leur être agréable, je leur dirai qu'ils sont fondés.
Mais il ne faut pas oublier que nous sommes dans un monde où il est parfois nécessaire de préciser les identités. À cet égard, il ne me semble pas inutile de faire figurer une référence spécifique à la protection sociale complémentaire – sujet de grande préoccupation pour les fonctionnaires territoriaux – et aux personnes handicapées, lesquelles estiment que, quatre ans après sa mise en oeuvre, la dernière loi les concernant ne répond pas à leurs attentes. Ce serait donc un bon signal.