Ses 21 membres, droite et gauche confondues, ont notamment dénoncé « la volonté de reprise en main forte de l'État », « un néo-jacobinisme », « une recentralisation » et « la défiance de l'État à l'égard des élus locaux ». Le président de l'AMF, Jacques Pélissard, a récemment écrit à qui voulait bien le lire qu'il soutenait la position du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.