Pour mettre en oeuvre ce droit d'option, une disposition législative était nécessaire, d'où la lettre rectificative : il fallait disposer d'un véhicule législatif qui puisse aboutir rapidement. En effet, les infirmiers disposeront de six mois pour exercer leur droit d'option, c'est à dire jusqu'à décembre, ce qui doit leur donner le temps de réfléchir à leur choix.
Je réponds par avance à ceux qui estiment, dans l'opposition, que ce texte aurait dû attendre la réforme des retraites. La ministre y a répondu : ce texte ne concerne pas directement les retraites.