…et non pas après, car il est trop tard.
Il faudra expliquer aux gens que l'« ordinaire » n'est pas tout à fait l'ordinaire, tout en étant quand même l'ordinaire. Soyons sérieux ! Ce sujet est extrêmement grave.
Pour ma part, j'ai tout de même été sensible, madame la ministre, à l'un de vos arguments, que je juge imparable, et je proposerai à nos collègues de rectifier leur amendement en supprimant les mots : « en présence du prêteur ». Il est que cela n'est pas possible dans tous les cas.
Pour le reste, je suis quant à moi peu sensible à l'évocation de l'article 220 qui, malheureusement, ne protège en rien. Nous avons mille exemples à vous donner ! Nous pouvons même recommencer la discussion générale… (Sourires.) Si c'était un article protecteur, on le saurait !
Je le répète, nous sommes au coeur d'un débat important. Réglons au moins ce problème ; évitons que quelqu'un soit solidaire d'une dette dont il n'a pas connaissance. Je pense que l'amendement de notre collègue ravira bon nombre de ceux qui attendaient avec impatience cette disposition.