Je ne comprends pas très bien la position de M. Raison. En effet, ces crédits sont en général au taux maximum – heureusement, d'ailleurs, qu'il existe un taux maximum – et l'on ne voit donc pas comment pourrait être proposé un taux plus élevé.
La situation actuelle profite à la fois au marchand de biens et au marchand de crédits : le complément de rémunération qui va au vendeur permet au marchand de matériel de payer moins cher son salarié tout en vendant son produit au même prix, tandis que le marchand de crédits en vend davantage. Je pourrais, sans citer de marques, vous énumérer les gratifications perçues par les salariés qui vendent du crédit pour les automobiles.