Ma position est très claire concernant la pénibilité : c'est aux employeurs, et non aux systèmes de retraite, de prendre en charge le coût de celle-ci. Sinon les employeurs ne seront aucunement incités à transformer les modes de travail de façon à ce qu'ils soient moins pénibles et qu'ils entraînent moins d'inconvénients, en particulier moins de vieillissement. Les syndicalistes comprennent très bien ce raisonnement.