Le fond du problème est de permettre aux investisseurs d'investir selon des critères de développement durable. Si on maintient l'alternative entre les critères, on manquera de référentiels communs pour comparer les entreprises ; le texte de loi restera un voeu pieux. Je rappelle que la définition du développement durable et de ses critères a été fournie, d'un commun accord, dans le cadre du Grenelle I.