Monsieur l'ambassadeur, j'ai été le rapporteur d'une mission d'information de la commission des affaires étrangères sur la question iranienne, notamment son volet nucléaire. La Turquie a récemment proposé de stocker l'uranium iranien : qu'en pensez-vous ?
Par ailleurs, Mme Clinton a annoncé le durcissement des sanctions si la situation n'évoluait pas de manière positive. Dans quelle mesure un tel durcissement vous paraît-il réalisable ?
Enfin, l'axe traditionnel de stabilité passant par les États-Unis, la Turquie et Israël semble quelque peu fissuré du fait que la Turquie se rapproche de l'Iran. Pensez-vous que la Turquie puisse continuer de jouer un rôle de stabilisateur et de facilitateur au Proche et au Moyen-Orient ?