Il suffit de constater l'écart entre un terrain constructible et celui qui ne l'est pas : parce que la valorisation d'un bien est due pour une grande part à la collectivité, il me semble logique que celui qui en bénéficie participe à l'amélioration des équipements publics. Plus encore : pourquoi une restriction des périmètres à 800 et 1 500 mètres alors que dans un certain nombre d'intercommunalités les zones périurbaines ou rurales ont été oubliées en matière de transport collectif et que l'équipement de ces dernières est plus coûteux que dans les zones plus densément peuplées ?