D'autre part, je rappelle que cette question ne relève pas de la compétence de l'Union européenne mais de celle des États. Alors, où est donc le risque ? Où est le danger ?
Pour que nous puissions voter une résolution qui ne soit pas vidée de son contenu, il faut lever le malentendu. Nous devons adopter un texte positif et constructif alors que les 25 et 26 mars prochains, un Conseil européen se réunira sous présidence espagnole sur la question du droit des femmes, et alors que le Parlement européen vient d'adopter une recommandation dont l'esprit est proche du texte que nous défendons ce matin.
Pour une fois que nous pouvons faire avancer une cause ensemble, ne manquons pas cette occasion ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)