en a souligné les grandes orientations : le choix du nucléaire comme énergie de demain, le refus d'y faire figurer des infrastructures pour éviter les querelles géographiques, mais, au contraire, le soutien à la recherche et aux unités productrices de savoir, notamment par l'attribution d'importants fonds à 6-8 campus universitaires d'excellence mondiale. Il s'agit aussi d'apporter un soutien décisif à la création et au développement de PME innovantes et pouvant constituer une base dynamique d'exportation. Ensuite, le Grand emprunt servira à apporter un soutien au développement des sciences du vivant, aux énergies décarbonées, notamment les réacteurs nucléaires de 4e génération à neutrons rapides, la ville de demain – les nouveaux modes de vie mais également la rénovation des HLM -, la mobilité du futur et le numérique à très haut débit. A cet égard, l'équipement de l'ensemble du territoire en fibre optique a été écarté comme trop onéreux ; il est convenu de mener des études complémentaires pour évaluer les solutions alternatives, tel le satellite, pour les zones moins densément peuplées.