Je ne peux pas exclure que certains soldats de l'ANA aient averti les insurgés d'opérations mais, une fois encore, nous vivons et travaillons en étroite collaboration et dans un climat de confiance. Nous nous protégeons mutuellement et les Afghans sont très fiers de cet équilibre. Les incidents sont toujours possibles, ce qui explique que pour certaines opérations nous n'informions les forces afghanes qu'au dernier moment. Je ne crois cependant pas que ce soit spécifique à l'Afghanistan ; c'est le propre d'un pays en guerre.