« Sans les familles, rien n'est possible », écrivait avec raison Marie de Hennezel dans son rapport de 2003. L'accompagnement de la fin de vie est une tâche humaine qui nous concerne tous. Il s'agit non seulement d'un devoir de solidarité, mais d'une exigence qui participe de la vie, d'une expérience qui rend plus humain. La société doit s'impliquer dans ce devoir d'humanité et de responsabilité. Tel est le sens de ce texte qui nous réunit ce matin. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et SRC.)