Quant à la façon dont les professionnels se prennent en main, nous pouvons être confiants : même s'il y a beaucoup à faire, puisqu'il s'agit de construire de façon complètement différente, le mouvement est bien parti. Je veux insister cependant sur une vraie question : l'éco-construction demande un surcroît d'intelligence, et cela suppose qu'on donne les moyens de fonctionner à des professions, telles que les architectes, les ingénieurs, la maîtrise d'ouvrage, qui sont aujourd'hui plutôt maltraitées.