Ce serait une profonde insulte pour une partie de nos concitoyens, viscéralement attachés à l'Algérie.
À moins que vous ne vous apprêtiez à nous donner l'assurance que cette proposition de loi n'a aucune chance d'être adoptée, monsieur le secrétaire d'État, je serai au regret de voter contre cette convention, comme un certain nombre de mes collègues – je pense notamment à Bernard Deflesselles, à Philippe Vitel, à Lionnel Luca, à Michel Voisin –, tout en étant pour une réconciliation totale et sincère avec l'Algérie.