…et je fais partie de ceux qui s'interrogent notamment sur l'évolution de l'accord de 1968 relatif à la circulation et à l'emploi des ressortissants algériens. Reste également en suspens le douloureux problème des cimetières, sans parler du statut des harkis – qui, je le rappelle, ne peuvent pas encore se rendre en Algérie sans craindre d'être déférés devant les tribunaux.
Depuis plusieurs décennies, nous essayons avec succès de dépassionner nos rapports avec l'Algérie. Malheureusement, nous avons été très troublés, ces derniers jours, par la prise de position inacceptable d'un certain nombre de députés algériens.