Aujourd'hui, la raison devrait l'emporter sur la passion et la réconciliation être le maître mot des relations entre la France et l'Algérie. Regardons vers l'avenir, c'est-à-dire vers l'horizon plutôt que dans le rétroviseur, et multiplions, les uns et les autres, nos efforts pour cultiver l'amitié et non la haine.
En conclusion, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, si le groupe Nouveau Centre votera majoritairement en faveur de ce texte, j'émettrai pour ma part un vote défavorable. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)