Comme par hasard, la taxation exceptionnelle des bonus versés en 2009 – résultat d'une initiative franco-anglaise, ou anglo-française si l'on préfère, entre le Président de la République française et le Premier ministre britannique – coïncide parfaitement, à l'euro près, comme dirait Jean-François Copé, avec la somme nécessaire pour compléter l'abondement du fonds de garantie ! (Sourires.)