C'est dans ces conditions que nous avons mis en place d'une part des mécanismes de prêt sur lesquels nous avons engagé la garantie de l'État, pour permettre le refinancement ; et d'autre part des mécanismes de titres super-subordonnés qui venaient en quasi-fonds propres pour soutenir les établissements bancaires français.
M. Emmanuelli, vous indiquiez hier que de ce fait, j'avais en quelque sorte été « plumée » par les banques.