La prévision que nous faisons pour 2010, en termes de destruction d'emplois salariés, serait ramenée de 373 000 en 2009 à 71 000. C'est évidemment encore beaucoup trop, mais c'est cinq fois moins qu'en 2009. Et si l'on observe les variations du nombre des demandeurs d'emploi au cours de chacun des trimestres sur l'année 2009, on s'aperçoit que la courbe est très fortement descendante puisque ce nombre a été divisé par quatre entre le premier et le quatrième trimestre 2009.