Nous l'avions posé par le biais d'un amendement qui avait été adopté par notre commission et par l'Assemblée. Malheureusement, le processus n'est pas allé à son terme. Si nous l'avions adopté, le débat serait clos.
Même si la situation de nos banques peut difficilement être comparée à celle des banques anglaises, allemandes ou américaines, toujours est-il que leur profitabilité retrouvée est pour beaucoup la conséquence du soutien massif de l'État, lequel était nécessaire, mais dont les modalités, une fois de plus, ont été contestables.
À la suite de la proposition de la commission des finances, Christine Lagarde a proposé une taxe sur la régulation…