De fait, l'évolution des trente dernières années révèle que les investissements, exception faite des crédits militaires, ne représentent plus que 5 ou 6 % du budget de l'État – soit 6 ou 7 milliards d'euros –, contre 20 % autrefois, et ce même en tentant compte de la décentralisation. Bref, les investissements sont désormais réduits à la portion congrue.