Ils devront évidemment en rendre compte au comité de surveillance où siégeront des parlementaires, et surtout à vous-mêmes, au Parlement, par le biais de l'information que nous vous proposons d'introduire chaque année en annexe du projet de loi de finances. À ma connaissance, Gilles Carrez, le rapporteur général, propose d'ailleurs d'y apporter des améliorations.
Nous n'avons pas limité l'exemplarité à la définition de la gouvernance. Elle inspire également nos choix d'investissements d'avenir.
Au départ, l'annonce de l'emprunt national a pu dérouter : pourquoi ajouter de la dette à une dette que tout le monde s'accorde évidemment à trouver beaucoup trop lourde ? Cela étant, en ce qui concerne ses modalités, nous avons pris des décisions raisonnables, raisonnées et responsables qui doivent lever les inquiétudes initiales.